
Difficultés pratiques : Travailler
sur le « vivant » induit de nombreuses difficultés scientifiques et
technologiques qui se traduisent par un grand volume de temps nécessaire pour
la moindre avancée
Durée de découverte : La durée moyenne entre une
découverte et son application pratique sur un marché se compte en plusieurs
années (entre cinq et quinze ans en moyenne).
De
lourds investissements : Des investissements qui ne pourront
s’avérer rentables que potentiellement et dans un horizon temporel lointain.
Ainsi, ce sont essentiellement les investisseurs privés qui peuvent se
permettre ce type d’investissements.
Produits concurrents : La capacité
des produits issus du Biomimétisme à se substituer aux produits traditionnels
n’est pas partout évidente. Enfin, ils devront faire face à des lobbys
implantés de longue date contre lesquels il n’est pas simple de s’imposer.
Environnement fiscal et règlementaire : Le
développement des biotechnologies est largement tributaire de l’environnement
fiscal et règlementaire. Également, ces contraintes peuvent fortement varier
d’un pays à l’autre et dans le temps. Ainsi, tous ces aspects peuvent
considérablement amplifier les contraintes de temps, de mise sur le marché et
de rentabilité.
Aspects sociaux, sociétaux et religieux :
L’acceptabilité des biotechnologies n’est pas forcément ni évidente ni aisée
dans des sociétés où les questions touchant à l’environnement, à l’éthique et à
la sécurité ne font pas nécessairement consensus.
Tour d’horizon des métiers d’avenir : Le Biomimétisme fait-il partie des métiers
d’avenir !! Voici dans quels domaines vont massivement recruter dans
l’avenir les entreprises à vous de vous faire une
idée sur le Biomimétisme :
Les métiers de la gestion
et de la finance ont de beaux jours devant eux. Les entreprises auront
besoin d’experts, maîtrisant les langues étrangères, pour les aider à définir
leur stratégie commerciale, financière… Les entreprises auront également besoin
de conseils juridiques.
Mondialisation oblige, les technico-commerciaux, les commerciaux export seront également recherchés.
Comme le marché est mondial, nous aurons aussi besoin de professionnels du transport et de la logistique pour organiser le transit des marchandises… La mondialisation des échanges intervient dans différents secteurs d’activité comme le tourisme, l’hôtellerie restauration, le commerce. Cette tendance sera encore plus accentuée.
Pour faciliter notre vie ou pour aller toujours plus vite dans nos recherches d’informations, les métiers de l’informatique vont continuer à embaucher massivement.
On parle pour les années à venir de compétition mondiale de la matière grise. La France manque de chercheurs pour inventer, innover, trouver de nouveaux vaccins, de nouveaux procédés informatiques ou inventer une nouvelle variété de pommes…
A la pointe de l’innovation, nous aurons besoin de chercheurs, d’ingénieurs et de techniciens travaillant dans les énergies renouvelables, pour baisser notre dépendance par rapport au pétrole.
Nous aurons également besoin de professionnels qui s’occupent des personnes en souffrance, tels que des médecins, des sages-femmes, des infirmières, des masseurs-kinésithérapeutes ou de professionnels travaillant dans le secteur social et des services à la personne.
Tous les métiers en manque de main d’œuvre ne nécessiteront pas forcément de longues études. On aura toujours besoin de boulangers-pâtissiers, de bouchers, de soudeurs, de plombiers et de menuisiers… Leur savoir-faire est irremplaçable !
Mondialisation oblige, les technico-commerciaux, les commerciaux export seront également recherchés.
Comme le marché est mondial, nous aurons aussi besoin de professionnels du transport et de la logistique pour organiser le transit des marchandises… La mondialisation des échanges intervient dans différents secteurs d’activité comme le tourisme, l’hôtellerie restauration, le commerce. Cette tendance sera encore plus accentuée.
Pour faciliter notre vie ou pour aller toujours plus vite dans nos recherches d’informations, les métiers de l’informatique vont continuer à embaucher massivement.
On parle pour les années à venir de compétition mondiale de la matière grise. La France manque de chercheurs pour inventer, innover, trouver de nouveaux vaccins, de nouveaux procédés informatiques ou inventer une nouvelle variété de pommes…
A la pointe de l’innovation, nous aurons besoin de chercheurs, d’ingénieurs et de techniciens travaillant dans les énergies renouvelables, pour baisser notre dépendance par rapport au pétrole.
Nous aurons également besoin de professionnels qui s’occupent des personnes en souffrance, tels que des médecins, des sages-femmes, des infirmières, des masseurs-kinésithérapeutes ou de professionnels travaillant dans le secteur social et des services à la personne.
Tous les métiers en manque de main d’œuvre ne nécessiteront pas forcément de longues études. On aura toujours besoin de boulangers-pâtissiers, de bouchers, de soudeurs, de plombiers et de menuisiers… Leur savoir-faire est irremplaçable !