On n’a pas fini (de rire) ou plutôt de pleurer ….
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vendredi 26 septembre 2014
Nouvelle trouvaille Européenne
Le travail détaché est une super nouvelle trouvaille de notre Union Européenne .Petit rappel sur le travail détaché : pour faire simple une entreprise, dont l’activité est située dans un État A, envoie temporairement son salarié travaillé dans un État B en "essayant "de respecter les règles en vigueur dans le pays d’accueil (durée du travail, Smic salaire minimum, etc.) WHAOU c’est beau !!! Mais voilà il y a la face cachée, si le salaire payé est celui du pays d’accueil en revanche, le taux de charge sociale sur le salaire reste celui du pays d’envoi et ça change tout, allez en parler a votre artisan préféré il va vous expliquer ce que représente le taux de charge en France. Un tel système est considéré comme du dumping social et ce n’est pas fini car il faut savoir que le droit européen repose sur quatre piliers : liberté de circulation des capitaux, des personnes, des biens et des services.
samedi 20 septembre 2014
L’illettrisme … La petite phrase !!!
« Il y a dans cette société une majorité de femmes et il y
en a qui sont pour beaucoup illettrées »
Cette longue succession de
malentendus, de déclarations à l’emporte-pièce et de reculades systématiques
devant les obstacles, a, petit à petit, envenimé les relations entre l’exécutif
et la population depuis le début du quinquennat. Et si on ajoute à cela les
mauvais chiffres économiques, cette phrase est la goutte qui fait déborder le
vase.
Aujourd’hui, en France, environ 7% de
la population souffre d’illettrisme, autrement dit, éprouve des difficultés à
déchiffrer des textes ou à écrire. Au regard des milliards d’euros dépensés
chaque année par le pays dans l’éducation et la formation professionnelle,
cette situation semble bien incompréhensible. À cet égard, l’État a montré
ses limites en ne parvenant pas à éradiquer ce mal. Pire encore, les résultats
de la France aux tests PISA, réalisés dans les pays de l’OCDE, montrent que le
problème semble s’étendre, puisque de plus en plus d’enfants sortent du cursus
primaire sans maîtriser l’écriture et la lecture : un retard qu’il sera
difficile de combler par la suite et qui provoquera, à brève échéance, leur
sortie du milieu scolaire sans formation ni diplôme. L’échec scolaire
perpétuel. Pourtant, les différents ministres qui se succèdent ne paraissent pas préoccupés par cela, oubliant au
passage que sans ce socle, aucune autre connaissance ne pourra être acquise par
les enfants. Espérons quand même que les propos du ministre auront permis à
certains de prendre conscience de l’ampleur du problème, (même si j’ai peu
d’espoir) et des efforts à consentir pour y remédier, à la fois sur les
méthodes d’enseignement (le retour à la méthode syllabique, etc.), mais aussi
sur le statut des écoles (auxquelles il faut donner plus d’autonomie) et de
leur personnel (recrutement, salaires plus élevés). Plus de liberté et moins de
dirigisme associés à quelques réformes permettraient à l’éducation de retrouver
la voie de l’excellence, seul véritable moyen de réduire durablement les
inégalités et la pauvreté dans le pays.
mercredi 17 septembre 2014
En économie c’est comme avec le dentifrice…
Depuis plus de 2 ans les contribuables
ont eu beau exprimer leur ras-le-bol fiscal, rien n’y a fait. Pour continuer
obstinément à faire croître des dépenses de l’État que tout le monde, même la
Cour des Comptes, demandait pourtant instamment de diminuer, ils ont choisis
d’alourdir encore plus le mammouth, en prélevant massivement sur la richesse
des Français. Ils ont tapés sur les riches, tapés dans la poche des
contribuables pour les criblés d’impôts, tapés sur les entreprises, qu’ils ont
considérés comme des tirelires. On a tous vu ce que ça a donné : Le pays s’est
donc enfoncé encore plus profondément dans la crise. Mais surtout la pression
fiscale et les taxes ont tué la poule aux œufs d’or : les défaillances
d’entreprises se sont multipliées ainsi que les plans sociaux : pas de
croissance et des chômeurs en plus.
Et là d’un seul coup de baguette magique : ils aiment subitement les riches, ils sont devenus adepte de la théorie de l’offre, ils aiment les banquiers, ils adorent les entreprises, ils vont diminuer les dépenses, ils vont baisser les impôts, ils vont tout faire pour que le pays soit à nouveau attractif pour les investisseurs étrangers. Bref, ils vont faire exactement le contraire de ce qu’ils ont fait depuis leur arrivée.
Mais le problème, c’est qu’en économie c’est comme avec le dentifrice : une fois que la pâte est sortie du tube, on a beau se dire « zut, je n’aurais pas dû presser aussi fort », c’est trop tard : on ne peut plus la faire rentrer !
Et là d’un seul coup de baguette magique : ils aiment subitement les riches, ils sont devenus adepte de la théorie de l’offre, ils aiment les banquiers, ils adorent les entreprises, ils vont diminuer les dépenses, ils vont baisser les impôts, ils vont tout faire pour que le pays soit à nouveau attractif pour les investisseurs étrangers. Bref, ils vont faire exactement le contraire de ce qu’ils ont fait depuis leur arrivée.
Mais le problème, c’est qu’en économie c’est comme avec le dentifrice : une fois que la pâte est sortie du tube, on a beau se dire « zut, je n’aurais pas dû presser aussi fort », c’est trop tard : on ne peut plus la faire rentrer !
dimanche 14 septembre 2014
Supprimer le Smic et 2 jours fériés ??? Youpi !!!
Nouvelles propositions chocs, notamment sur le temps
de travail :
Depuis que le 1er ministre a lancé son
vibrant « j’aime les entreprises », fin août, et qu’il a été
ovationné devant le Medef, les patrons semblent très bienveillants à son égard.
« Il faut tout mettre sur la table pour faire sauter les blocages ».
Pour débloquer l’économie et créer un million d’emplois, ils ont une recette :
un document de 50 pages élaboré en collaboration avec les fédérations. On ne se
fait pas d’illusion sur la bronca que va susciter le texte. Point de sujet
tabou : suppression de deux jours fériés et du Smic, considéré comme un
frein à l’embauche, puis ils vont se pencher sur le modèle économique et social
français… dans le viseur par exemple, l’aménagement du temps de travail. Le
patronat souhaiterait laisser la liberté aux entreprises de fixer les règles en
fonction de leurs contraintes, de leurs activités et de ce que demandent les pauvres
salariés !!!
vendredi 12 septembre 2014
Une pause fiscale, vous voulez rire ?
La pause fiscale est la
dernière imposture à la mode. Les contribuables vont encore et encore payer :
en effet, on apprend que les avantages fiscaux des familles avec des enfants scolarisés
pourraient être supprimés, ce qui aboutirait à une augmentation d'impôts pour
les contribuables concernés. Cette mesure s'ajouterait aux autres : gel du
barème de l’impôt sur le revenu, baisse du quotient familial, fiscalisation des
heures supplémentaires ou bien alourdissements de diverses taxes, en attendant
la fameuse contribution climat énergie.
Plus que jamais, les
contribuables sont excédés, eux qui se voient spoliés par les pouvoirs publics,
car à ce niveau-là, on peut parler de spoliation, le terme n'étant pas exagéré.
S'il existe des paradis fiscaux, c'est qu'il existe également des enfers
fiscaux. La France est l'un d'entre eux, aussi bien pour les particuliers que
pour les entreprises. Il faudrait arrêter de faire les poches aux familles et
honnêtes travailleurs et être un peu plus sensible au ras-le- bol fiscal qui monte dans notre pays.
jeudi 11 septembre 2014
SENLIS : Brocante du Quartier de BRICHEBAY 2014.
La brocante du quartier de Brichebay
aura lieu le 28 Septembre 2014. Le quartier de Brichebay sous l’impulsion de
l’association Agir Ensemble à Brichebay montrera
une nouvelle fois son dynamisme et sa convivialité. Les chineurs seront encore
très nombreux pour cette journée ce qui prouve la notoriété de cette brocante.
De nos jours les quartiers sont devenus un enjeu majeur pour les villes et
il faut répondre aux nouvelles attentes de ses habitants au quotidien.
La vie de quartier fait
partie d’une quotidienneté évidente et les habitants ne sont pas tous sensibles
aux mêmes attraits de leur lieu d’habitation : loisirs, animation, équipements
de proximité, tranquillité, sécurité, chaleur relationnelle, etc. ne sont pas
mis en avant par tous identiquement ; par exemple, les jeunes sont plutôt à la
recherche d’animation, de lieux de confrontation et les personnes âgées de
tranquillité et de verdure. Ces préférences font que les habitants ont des
attentes différenciées de leur lieu d’habitation et que leur bien-être est
conditionné par la capacité à apparier leur habitat effectif et leurs désirs.
L’aspiration à une meilleure qualité de
vie au quotidien est aujourd’hui légitime. Elle est même un enjeu majeur. Les
attentes des habitants portent très largement sur des aspects qualitatifs, tels
que la sécurité, la propreté, les espaces extérieurs et la proximité des
services. Cette question, trop longtemps sous-estimée, prend aujourd’hui tout
son sens au travers d’une gestion urbaine de proximité.
De façon globale, la gestion urbaine de
proximité se charpente autour de plusieurs grands axes d’action : il s’agit
d’abord de requalifier des espaces extérieurs
par des aménagements de
quartiers, afin de faciliter une meilleure appropriation du quartier par les
habitants. Il faut ensuite tranquilliser
et sécuriser ces quartiers. Il convient également d’assurer une
déconcentration des services afin de permettre une réelle coordination des
différents acteurs dans la gestion du quartier. Enfin il faut et c’est pour moi
la plus importante, la participation des habitants et de leurs associations à
toutes les instances et à tous les lieux de concertation.
Il faut encourager
l'expression, la participation des habitants du quartier, aider les projets d’animations, créer un journal ou un site internet sur les
informations relatives à la vie de son quartier, enfin il faut assurer l’accueil des nouveaux habitants.
mardi 9 septembre 2014
Biomimétisme : Les Obstacles à son développement !!!
Créer
et innover en se posant sans cesse ces questions : Que ferait la nature dans ce
cas ? Que ne ferait-elle pas ? Pourquoi ? Ou pourquoi pas ? Le Biomimétisme
est-il une méthode innovante ou pas ? Il existe actuellement quelques
difficultés à connaitre avant de se lancer dans cette belle aventure :
Difficultés pratiques : Travailler
sur le « vivant » induit de nombreuses difficultés scientifiques et
technologiques qui se traduisent par un grand volume de temps nécessaire pour
la moindre avancée
Durée de découverte : La durée moyenne entre une
découverte et son application pratique sur un marché se compte en plusieurs
années (entre cinq et quinze ans en moyenne).
De
lourds investissements : Des investissements qui ne pourront
s’avérer rentables que potentiellement et dans un horizon temporel lointain.
Ainsi, ce sont essentiellement les investisseurs privés qui peuvent se
permettre ce type d’investissements.
Produits concurrents : La capacité
des produits issus du Biomimétisme à se substituer aux produits traditionnels
n’est pas partout évidente. Enfin, ils devront faire face à des lobbys
implantés de longue date contre lesquels il n’est pas simple de s’imposer.
Environnement fiscal et règlementaire : Le
développement des biotechnologies est largement tributaire de l’environnement
fiscal et règlementaire. Également, ces contraintes peuvent fortement varier
d’un pays à l’autre et dans le temps. Ainsi, tous ces aspects peuvent
considérablement amplifier les contraintes de temps, de mise sur le marché et
de rentabilité.
Aspects sociaux, sociétaux et religieux :
L’acceptabilité des biotechnologies n’est pas forcément ni évidente ni aisée
dans des sociétés où les questions touchant à l’environnement, à l’éthique et à
la sécurité ne font pas nécessairement consensus.
Tour d’horizon des métiers d’avenir : Le Biomimétisme fait-il partie des métiers
d’avenir !! Voici dans quels domaines vont massivement recruter dans
l’avenir les entreprises à vous de vous faire une
idée sur le Biomimétisme :
Les métiers de la gestion
et de la finance ont de beaux jours devant eux. Les entreprises auront
besoin d’experts, maîtrisant les langues étrangères, pour les aider à définir
leur stratégie commerciale, financière… Les entreprises auront également besoin
de conseils juridiques.
Mondialisation oblige, les technico-commerciaux, les commerciaux export seront également recherchés.
Comme le marché est mondial, nous aurons aussi besoin de professionnels du transport et de la logistique pour organiser le transit des marchandises… La mondialisation des échanges intervient dans différents secteurs d’activité comme le tourisme, l’hôtellerie restauration, le commerce. Cette tendance sera encore plus accentuée.
Pour faciliter notre vie ou pour aller toujours plus vite dans nos recherches d’informations, les métiers de l’informatique vont continuer à embaucher massivement.
On parle pour les années à venir de compétition mondiale de la matière grise. La France manque de chercheurs pour inventer, innover, trouver de nouveaux vaccins, de nouveaux procédés informatiques ou inventer une nouvelle variété de pommes…
A la pointe de l’innovation, nous aurons besoin de chercheurs, d’ingénieurs et de techniciens travaillant dans les énergies renouvelables, pour baisser notre dépendance par rapport au pétrole.
Nous aurons également besoin de professionnels qui s’occupent des personnes en souffrance, tels que des médecins, des sages-femmes, des infirmières, des masseurs-kinésithérapeutes ou de professionnels travaillant dans le secteur social et des services à la personne.
Tous les métiers en manque de main d’œuvre ne nécessiteront pas forcément de longues études. On aura toujours besoin de boulangers-pâtissiers, de bouchers, de soudeurs, de plombiers et de menuisiers… Leur savoir-faire est irremplaçable !
Mondialisation oblige, les technico-commerciaux, les commerciaux export seront également recherchés.
Comme le marché est mondial, nous aurons aussi besoin de professionnels du transport et de la logistique pour organiser le transit des marchandises… La mondialisation des échanges intervient dans différents secteurs d’activité comme le tourisme, l’hôtellerie restauration, le commerce. Cette tendance sera encore plus accentuée.
Pour faciliter notre vie ou pour aller toujours plus vite dans nos recherches d’informations, les métiers de l’informatique vont continuer à embaucher massivement.
On parle pour les années à venir de compétition mondiale de la matière grise. La France manque de chercheurs pour inventer, innover, trouver de nouveaux vaccins, de nouveaux procédés informatiques ou inventer une nouvelle variété de pommes…
A la pointe de l’innovation, nous aurons besoin de chercheurs, d’ingénieurs et de techniciens travaillant dans les énergies renouvelables, pour baisser notre dépendance par rapport au pétrole.
Nous aurons également besoin de professionnels qui s’occupent des personnes en souffrance, tels que des médecins, des sages-femmes, des infirmières, des masseurs-kinésithérapeutes ou de professionnels travaillant dans le secteur social et des services à la personne.
Tous les métiers en manque de main d’œuvre ne nécessiteront pas forcément de longues études. On aura toujours besoin de boulangers-pâtissiers, de bouchers, de soudeurs, de plombiers et de menuisiers… Leur savoir-faire est irremplaçable !
vendredi 5 septembre 2014
Le Biomimétisme ou "Comment imiter la Nature"
Avant d’essayer de trouver ce que l’homme
recherche dans l'imitation de la nature, il nous faut d'abord savoir ce
qu'il admire tant en elle. Car en effet l'homme a toujours éprouvé une certaine
émotion vis-à-vis de la nature, une certaine crainte aussi face à des choses et
à des éléments qu'il n'a jamais sue, et ne sait toujours pas contrôler
La nature, par définition, se
"limite" à tout ce qui existe dans l’univers hors mis l’être humain
et son action. Par conséquent l’homme, quand il crée son œuvre d’art (son idéal
esthétique), ne peut que prendre cette nature pour modèle, ou tout au moins
s’en inspirer, ceci est tout simplement le principe même de l’imitation.
Cependant affirmer que l’homme ne peut qu’imiter la nature, c’est aussi
affirmer qu’il n’a aucune force de création et doit donc toujours s’appuyer sur
des faits, des lieux ou des actes précédemment acquis. Donc se demander si un
chercheur dans ses recherches, imite la nature, reviendrait à se demander s’il
ne fait pas plus qu’une "pâle imitation" de celle-ci en y incorporant
des "morceaux" de son imagination ? De sa propre conception de la
nature selon ses goûts et ses envies.
La nature combine la vie selon des lois qu'il faut respecter et
toucher à la vie en totale ignorance ne peut se faire
sans conséquences graves. Vouloir l'oublier, la dominer, la copier ou la transgresser est irréaliste.
Respectons la nature, elle est tellement belle……….
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